Cantine

Château Mouton-Rothschild

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Descrizione

Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que maintenir, on perfectionne aussi haut qu’on soit déjà. À Mouton c’est une affaire réglée depuis Nathanaël, qui s’y fixe en 1853. Dans un Bordeaux pourtant cosmopolite un banquier anglais, peut-être même à fort accent allemand à la Nucingen, cela fait tâche, à la veille du Saint-Classement. Mouton ne sera pas premier. James, de la branche française, aura plus de chance et de toute façon son statut de premier est acquis depuis quinze ans quand il achète les vignes des Ségur. Deux générations suivantes sous le mandat de l’inventif et flamboyant Philippe remettent les choses à leur place. Mais Philippe n’aurait jamais imaginé que Philippine, une fille, sa fille, l’égale ou même le dépasse.
Ce fut pourtant le cas, même si à son arrivée l’aisance et la routine font un peu faiblir la qualité. Il fallait avoir le courage de s’en rendre compte et le sens de l’honneur de tout faire pour y remédier. Elle inspire le brillant tandem technique formé par Philippe Dhalluin et son bras droit Éric Tourbier, elle leur offre même l’outil de travail dont ils rêvaient, et surtout elle donne à sa façon de représenter le cru dans le monde un sens du grand théâtre (jeu et texte) inné en elle et évidemment perfectionné par sa première carrière au « Français ». Son amour et son respect pour ce patrimoine hérité lui font aussi penser à sa succession, pour éviter les maladresses dont elle a peut-être souffert. Elle donnera à chacun de ses enfants une place et un rôle précis, à la mesure de notre époque et de l’ampleur prise par les propriétés et le négoce. Philippe Sereys de Rothschild prend sa suite, esprit fin, déterminé, au sens de l’humour plus « anglais », avec la parfaite éducation et une écoute des autres qui ne sont pas fréquentes à Bordeaux, Julien de Beaumarchais de Rothschild, poète, artiste, âme sensible qui le fragilise autant qu’elle l’élève, veille amoureusement, et sous le regard de son père Jean-Pierre, sur le musée, les étiquettes, l’art en général, et Clerc Milon en particulier, et Camille, après avoir élevé ses nombreux enfants apporte la présence féminine nécessaire dans une propriété familiale et que sa mère avait si bien incarnée.
Et le vin dans tout cela ? Difficile de trouver la moindre faille depuis plus de dix millésimes quel que soit le climat. Les vieilles vignes, une agriculture centrée avec rigueur sur le développement durable, une maîtrise de l’élevage que tous reconnaissent et admirent en Médoc, et évidemment le caractère incomparable du terroir, tout cela contribue à la perfection formelle du Grand Vin, beaucoup plus sévèrement sélectionné, forcément très coûteux, mais certainement pas plus que de nombreux autres crus cultes de France ou d’ailleurs. Il fait honneur à notre pays, au meilleur de son savoir-faire et il était ici naturel de lui rendre hommage.Nos plus grands vins, forcément issus de nos plus grands terroirs, vivent aujourd’hui la période la plus florissante de leur histoire, comme en témoignent le prix de leurs vins et de leurs vignes. Mais peut-être pas les familles propriétaires, souvent éclatées, qu’elles soient paysannes ou aristocratiques, par de mesquines querelles d’argent. Mais chez les Rothschild, depuis qu’on possède on assume, et on fait plus que main

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